L'élevage des Hunters de l'Est est un élevage familial d'épagneuls français situé dans le Bas-Saint-Laurent, ayant des critères de qualité et de santé très élevés.
Portée 2025
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Qui sommes-nous?
L’Élevage de Hunters de l’Est est un élevage familial d’épagneuls français situé dans le Bas-Saint-Laurent, ayant des critères de qualité et de santé très élevés. Tous nos chiens sont examinés par le vétérinaire régulièrement ; ils sont vaccinés, vermifugés, testés pour les maladies génétiques avec Embark (USA) et bien évidemment, enregistrés au CCC et au NAVHDA. Ils sont tous exempts de dysplasie des hanches et des coudes à l’OFA. Ils sont testés pour la cardiomyopathie et les cataractes génétiques. Notre lignée est spécialisée dans la chasse à la plume (Perdrix, Bécasses, Sauvagines).
Chaque année, nous effectuons des évaluations pour chien d’arrêt et chien d’eau par le biais du Club Canin Canadien (CCC) ou du North American Versatile Hunting Dog association (NAVHDA), démontrant l’essentiel de la race, soit un chien de chasse versatile. Aussi, nos reproducteurs sont tous confirmés par notre club de race, démontrant que nos chiens respectent le standard physique de celle-ci. Nous faisons également des concours de conformation avec nos chiens.
Notre passion pour la chasse au petit gibier et sa polyvalence justifie le choix de cette race. En effet, l’épagneul français excelle comme chien de famille et de travail. Il est considéré comme un chien polyvalent exceptionnel et versatile. En plus d’être un chien d’arrêt hors pair, sa douceur et sa sociabilité lui permettent d’être un compagnon parfait à la maison. Sa taille moyenne et ses aptitudes physiques lui donnent une multitude de vocations (cani - cross, chasse, concours, obéissance, agilité, détection d’odeur, etc.) C’est une race sensible et proche de l’humain. À l’entraînement, nos chiens correspondent bien à l’expression « être ferme avec des gants de velours ». Ils ont un besoin d’exercice régulier et d’éducation, comme toute race. Ils ont un tempérament adaptatif, soit calme et posé à la maison, mais ayant un haut niveau d’énergie en situation de travail ou de compétition. Pour notre famille comportant trois enfants passionnés de chasse, c’est l’idéal des deux mondes.
La Race Épagneul français
Historiquement, l’épagneul français est décrit comme l’une, voire la plus ancienne, race de chien d’arrêt. Ses origines proviennent du fameux « chien couchant » du Moyen Age, descendant des chiens d’Oysel (d’oiseaux) décrit par Gaston Phoebus, comte de Foix, dans les années 1300. À l’époque, il fut utilisé pour la chasse au filet et la fauconnerie. Les chiens de M. Phoebus (1331-1390), attribué à l’ascendance des épagneuls à la chasse, sont à l’origine des diverses variantes des épagneuls d’aujourd’hui.
Le premier standard fut établi en 1891 par James de Coninck. Il fut mandaté pour sauver et harmoniser l’élevage d’épagneul français. En fait, suite à un afflux important de chasseurs britanniques fortunés désirant chasser en France, l’épagneul français fut mis de côté aux dépends des chiens britanniques (Setter, Pointer). Ceux-ci exilaient leur chien en terre française, évitant une quarantaine obligatoire. Notre race est passée très proche de l’extinction.
Suite à des efforts exceptionnels et à un remaniement de la race par l’Abbé Fournier, le club de l’épagneul français vit le jour en 1906. Ses sujets d’élevages sont à l’origine de nos chiens actuels. Ce premier club de race fut reconnu par la Société Centrale Canine en 1921. Il fut importé au Canada par un groupe de gens passionnés en 1974, pour ensuite permettre la création de notre club de race au Québec dès 1978. En revanche, celui-ci fut reconnu et approuvé par le Club Canin Canadien en 1985 grâce aux efforts d’éleveurs dévoués à la race.
Caractéristique physique et mentale
L’épagneul français est un chien de taille moyenne de robe blanche tacheté brun marron (cannelle à foncé) avec de légères mouchetures. Il est parmi les plus anciennes races de chiens d’arrêt et est reconnu pour être élégant, athlétique et méthodique dans son travail. Il est également un chien de famille exceptionnel et un chien extrêmement polyvalent. En effet, à domicile, c’est un membre de la famille calme et docile, très doux et patient avec les enfants. Aucunement réactif ni agressif, c’est un être social et proche de ses maîtres. Il n’hésite pas à prévenir de l’arrivé d’un étranger. Avec ses congénères, il est aussi un chien social et joueur ne démontrant généralement aucune trace de réactivité. Au fil des années, les épagneuls français ont obtenus la mention de chiens polyvalents exceptionnels par la multitude de possibilités de vocation à leur actif. Bien que ses origines soient typiquement comme chien de chasse, plus de la moitié des gens s’achètent un épagneul français pour d’autres projets. Les propriétaires qui leur donnent la chance ont vu leur chien se démarquer dans les concours de chasse, de cani - cross, d’obéissance, d’agilité, de conformation, de sport attelé (trottinette), de rallye, ainsi qu’en détection d’odeur.
Le commencement de cette aventure fut marqué par une recherche approfondie de qualités de chasse élevées. Je voulais un chien exceptionnel pour m’accompagner dans ma plus grande passion, soit la chasse au petit gibier. Chez moi, nous avons un dicton qui dit que l’homme qui est veuf de chasse et non la femme. Donc, j’ai fait mes devoirs et je suis allée voir plusieurs éleveurs autant du côté britannique que continentale. Mon évaluation s’est basée sur plusieurs critères, dont l’arrêt, la quête, le tracking, le rapport, la génétique, la collaboration à l’entraînement, etc. J’ai vu ces races travailler au champ et au marais, ce qui m’a donné une première idée des points forts et faibles des races sélectionnées. Cela m’a permis de prendre conscience que chaque race a des défauts et que je devais choisir avec lesquels j’étais prête à travailler.
C’est en terrain réel que mon choix s’est arrêté sur l’épagneul français où j’ai pu observer toute la rusticité et la prudence de la race devant l’oiseau sauvage. J’ai vu ces chiens travailler leur nez avec intelligence et précision, arrêter fermement le gibier au bon moment pour ne pas faire lever l’oiseau et nous permettre de tirer le gibier, suivi de la récompense ultime : le rapport à la main. J’ai souvenir de scènes de chasse dignes d’un rêve où le chien track le gibier pendant une longue période, le temps qu’on arrive au chien, la gélinotte étant farouche, piète, ce qui nous emmène à tirer le gibier de loin et parfois, celle-ci se sauve blessée. Sans aucune hésitation, le chien rapporte l’oiseau, peu importe la condition ou le terrain. C’est une race de chien d’arrêt très douée autant pour la chasse à la perdrix (gélinotte huppée, tétras du Canada) que la bécasse, la bécassine et la sauvagine. Le seul inconvénient d’avoir un épagneul français dans le bois est sa capacité spectaculaire à accumuler des tiges de framboisiers et de chardons dans les poils des oreilles et des franges.
Notre première française
Mon aventure débuta en 2018 avec ma première française, Megan ProHunter de l’élevage des Appalaches, réputée pour ses lignées de travail. Je suis allée chercher mon chien le 3 mai 2018, après avoir fait les tests de comportement, ainsi que le test de chasse sur la plume de perdrix. Megan avait fait un arrêt à la vue instinctivement sans aucune hésitation et avait une excellente collaboration. Avec plein d’espoir de concours et performance en Navhda et en CKC, j’ai ramené la bête à la maison et j’ai débuté mes devoirs. Je suis décrite par mes pairs comme une jeune femme intense et passionnée dans tout ce que j’entreprends. C’est dans ce même esprit que Megan et moi avons débuté l’entraînement avec un coaching privé au Club de chien de chasse de Rivière-du-Loup. Je tiens à souligner la disponibilité et l’ouverture dont a fait preuve l’équipe de coaching, très rare dans ce domaine. Je remercie la vie tous les jours d’avoir mis sur mon chemin des gens prêts à m’aider dans mes projets. Les limites de compréhension et d’assimilation des nouveaux manieurs, ajoutées au manque d’expérience, mettent la patience des coachs à rude épreuve.
Mon Parcours
Notre parcours n’a pas été sans échecs, mais au final, Megan et moi avons quand même très bien performé. Avec son lot de larmes de joie et de déception, j’ai vite réalisé qu’une évaluation pour chien d’eau ou chien d’arrêt, autant en Navhda qu’au CKC, ne représente qu’une journée dans la vie du chien. Les épreuves sont une simulation de la réalité et bien que le chien soit exemplaire à l’entraînement, tous les facteurs environnementaux peuvent influencer la réussite. Nous avons débuté notre première saison avec un échec pour le test d’aptitude naturel Navhda, entièrement par ma faute. On s’en est bien tiré avec un prix 2 107/112 au second essai. C’est à ce test que j’ai eu ma première leçon sur l’influence de l’environnement. L’année suivante, nous avons fait des évaluations CKC, soit les trois pattes de chien de chasse (FD) et de chien d’eau junior (WDJ). Elle a obtenu la mention « coup de cœur des juges et des tireurs ». Ensuite, j’ai fait sa première portée et fait ses trois pattes de chien d’eau (WD). J’ai travaillé également avec d’autres chiens d’éleveurs différents pour me perfectionner comme manieur et débuter l’entraînement privé. J’ai fait mon premier Breeders Awards. L’année suivante, comme j’adore les défis, j’ai manié d’autres chiens et passer mon premier titre de chien de chasse excellence (FDX) et réussi mon deuxième Breeders Awards avec la seconde portée de Megan. J’ai débuté l’entraînement de chiens externes en obéissance et en chasse. Megan a également participé à la National des bécassiers, un concours de chien de chasse sur le gibier sauvage non tiré où elle est arrivée en seconde place.
La saison dernière, Megan a démontré ses talents de chien polyvalent exceptionnel en réussissant deux titres d’utilité Navhda (prix 3 suivi d’un prix 1), nous permettant ainsi d’obtenir une invitation aux États-Unis l’an prochain, ainsi qu’une patte de chien de chasse avancé (FDA), obligatoire dans mon programme d’apprenti juge CKC et deux pattes de chien d’eau excellent (WDX) avec un pointage de 100 %. Ce ne sont que des titres, mais pour moi, cela représente tout l’étendu de ce que cette magnifique race peut offrir à une famille. En été 2024, je suis reconnue par le CKC comme juge officiel pour les épreuves de chasse et concours pour chiens d'arrêt.
Création d’un nouvel élevage éthique
Enfin, l’aboutissement ultime de ces accomplissements est la création de notre élevage familial spécialisé en chien de chasse et de travail. L’élevage des Hunters de l’Est, un élevage éthique situé à Mont - Carmel, au Bas Saint-Laurent. Nous avons des critères de qualité très élevés. Nos reproducteurs sont exempts de maladies génétiques et de dysplasie (hanches et coudes). Nos géniteurs sont tous testés négatifs pour les maladies du cœur, ainsi que les cataractes congénitales. Les relèves ont minimalement un test d’habileté naturel Navdha (NA), démontrant les aptitudes de chasse de la lignée, mais aussi la collaboration du chien. De plus, la confirmation par le club de race avec la mention Prometteur est essentielle, confirmant que nos chiens correspondent parfaitement au standard physique de la race. Nous nous assurons dans nos choix de mâles que ceux-ci sont aussi conformes à tous nos critères de qualité, permettant de produire des chiots ayant des caractéristiques similaires, soit de merveilleux chien de famille ayant une polyvalence exceptionnelle.
Nos chiens
Voici les fiches descriptives des chiens de l’Élevage des hunters de l’Est. Cliquer sur l'image pour ouvrir une page de la fiche. Megan ProHunter en est la fondation. Elle a un tempérament en or à la maison, un désir et une collaboration hors pair en situation de travail. Nos deux mâles sont des fils de Megan issus de deux mâles européen différents, limitant tout risque de consanguinité. Ils ont tous deux les mêmes qualités que leur mère. Miss Stella est une jeune femelle énergique et élégante achetée auprès d’un autre élevage québécois. Celle-ci possède les mêmes qualités nécessaires à l’amélioration de la race.
Nos chiots
Ils sont enregistrés au CCC ainsi qu’au NAVHDA. Ils sont bien évidemment vaccinés, vermifugés et micropucés. Ils sont vendus avec un acte de vente, une clause de non-reproduction et une garantie de 2 ans sur toutes maladies portant atteinte à la vie de l’animal. Les familles adoptantes peuvent venir chercher leur nouveau compagnon à partir de huit semaines (maximum 12 semaines). Une pré-sélection de leur choix peut être faite à la demande.
La santé de nos femelles
Au sein de l’Élevage des Hunters de l’Est, nous avons des critères de reproduction très élevés. Nos femelles ont entre deux et quatre portées au cours de leur vie. Ce sont des membres de notre famille à part entière et elles sont traitées comme tels. La grossesse et l’accouchement se font selon les recommandations vétérinaires de Dr. Emmanuel Fontaine et de la clinique vétérinaire de Maguire. Nous faisons de la formation continue afin de rester à jour dans les nouvelles études et recommandations. Nos chiens ont tous des suivis vétérinaires réguliers auprès de l’hôpital vétérinaire de Rivière-du-Loup.
La maternité
Nos chiots naissent dans un environnement familial stimulant et ont un programme de désensibilisation aux bruits et aux facteurs environnants, tels que le fusil à pétard, la pataugeoire, le sifflet, etc. La maternité se fait dans le confort de notre foyer. À partir de quatre semaines de vie, nous invitons des gens de styles et d’origines différents à venir manipuler les chiots, permettant une socialisation optimale. Par souci de transparence et d’intégrité, nous avons une caméra de surveillance (Lorex) au-dessus de la maternité et l'enclos extérieur. Nous offrons aux familles adoptantes la possibilité de visualiser les chiots et leur mère en temps réel 24h/24, de l’accouchement jusqu’à l’adoption.
Entrainer un chien de chasse lorsqu’on est débutant et amateur n’est pas sans embûches et défis. Le manieur a certaines attentes, parfois trop élevées et irréalistes dans le temps voulu. Le coaching nous ramène aux bases fondamentales. Les apprentissages sont ardus pour le propriétaire novice. La ligne est mince entre connaître, comprendre et maîtriser un exercice. Le chien quant à lui, réagit à nos actes et à nos émotions comme un miroir de l’âme, nous permettant d’ajuster le tir. Entraîner un chien ne se résume pas à des exercices physiques et mentaux. Cela implique également de travailler sur soi, d’avoir le bon état d’esprit et de rester dans le moment présent, peu importe les événements de la vie. Le « timing » lors de la réalisation des exercices physiques et le respect des étapes sont extrêmement importants pour la compréhension du chien de chasse final.
Au sein de l’équipe des hunters de l’Est, nous avons un programme d’entrainement et de développement pour chaque membre canin de notre élevage selon leur âge, leur tempérament et leur aptitude. Bien que nous ne sommes pas des dresseurs professionnels, nous sommes en mesure de vous guidez dans l’éducation et l’entrainement de votre compagnon étape par étape. À l’occasion nous prenons des chiens de particuliers en dressage d’obéissance et/ou de chasse. L’obéissance inclus principalement le Tri - Action, les commandements de base et la marche au pied si désiré. Le tri - Action consiste en l’apprentissage de trois actions distinctes, soit le rappel, le « whoa », et le « aller-vers », qui constitue la base de l’entrainement d’obéissance spécifique au chien de chasse. Le tout se fait par conditionnement opérant positif et négatif. Le dressage de chasse passe par des étapes multiples d’apprentissages, dont déclarer l’arrêt du chien, stimuler sa quête, l’initier au « tracking » et à l’eau. Ensuite, en combinaisons avec le tri-action, les notions de « steadyness » et le rapport vont être instaurés. Le club de l’épagneul français du Québec met à la disposition des clients un livre écrit par le défunt Fernand Lévesque, un passionné et un des pionniers de la race. Ce livre s’intitule « Faire de son épagneul français un indispensable compagnon de chasse ». Cet ouvrage décrit bien l’ensemble des étapes nécessaires à l’éducation et au dressage de votre compagnon.
Durant la première année de vie, l’éducation de chasse débute par la déclaration de l’arrêt du chien, la stimulation de sa quête, l’initiation au « tracking » et à l’eau. C’est une période de découverte, de stimulation et d’auto-apprentissage. L’éducation à la maison, la socialisation et la découverte de l’environnement sont des éléments fondamentaux à l’équilibre physique et mental de votre compagnon. Le tri - Action va être enseigner à la fin la première année ou un peu avant selon le tempérament du chien. Ensuite, durant la deuxième année, nous allons perfectionner les acquis et instaurer le « steadyness » sur l’oiseau, ainsi que le rapport conditionné. Les clients désirants un rapport forcé (Force Fetch) sont référés à un dresseur professionnel, dû à la complexité de cet entrainement.
Nous avons appris avec l’expérience que l’entrainement requiert une adaptation continuelle. La mode des comportementalistes canins ces temps - ci sont en faveur d’une éducation 100% positive similaire à ceux des enfants de la génération « Z ». Les conséquences à long terme pour le chien sont considérables. La recherche d’un équilibre est préférable. Aussi, le transfert émotionnel de l’humain au chien n’est pas souhaitable pour son bien-être et sa santé mentale. Cela peut amener à divers problèmes de comportement et d’anxiété. Dans la vie, comme avec nos membres canins, tout une question d’équilibre. Il y a des principes de base à instaurer et respecter. Il faut être conséquent entre les actions au quotidiens et les objectifs visés à long terme. Par exemple, si vous voulez un chien qui maitrise la marche au pied, on va proscrire la marche avec le harnais qui favorise la traction avant. Un autre exemple , évident pour les gens désirant un chien de chasse est d’exiger une marche au pied avant d’avoir une quête au champs acceptable. Ce sont plusieurs incohérences qui nuisent à l’apprentissage de vos amis canins.
Pour bien éduquer et apprendre à lire le chien, il est impératif de comprendre certaines notions de base. Le langage canin est subtil et n’a pas la même signification pour eux que pour nous. Au sein de l’équipe des Hunters de l’Est, nous sommes en mesure de vous « coacher » sur l’éducation et le dressage de votre chien. Voilà quelques éléments à prendre en compte :
- Le chien ne comprend pas les émotions humaines.
- La règle des 3 secondes (pour intervenir, « corriger » ou récompenser).
- Le chien n’a aucune notion du temps qui passe (être dans sa cage 2 ou 6 heures c’est pareil pour lui).
- Donner de l’attention ou récompense seulement lorsque c’est le comportement ou état d’esprit désiré.
- Effectuer des entraînements de courte durée (5 minutes), mais plus fréquents.
- 3 répétitions d’un même exercice bien fait est suffisant.
- Ignorer les comportements indésirables lorsque le chien agit pour attirer l’attention (par exemple un chien qui hurle dans la cage pour sortir… ignorer le mauvais comportement, puis récompenser celui-ci lorsqu’il se calme).
- Récompenser le bon comportement.
- La durée de l’exercice recommandé est de 5 minutes par mois d’âge pour un maximum de 30 minutes la première année.
- Les pentes abruptes et les escaliers sont à proscrire les deux premières années de vie.
Dû à la complexité de la psychologie canine, ces exemples ne sont pas exhaustifs. Pour plus d’informations ou besoins particuliers, je vous invite cordialement à contacter l’équipe des Hunter de l’Est.